À la fin de mon baccalauréat en art dramatique en 2011, je décide de rester en Acadie plutôt que de poursuivre des études au Québec. Du coup, on m’encourage à postuler pour les prix de la Fondation pour l’avancement du théâtre francophone au Canada, qui compte un nouveau prix pour les jeunes artistes acadiens: le prix Viola - Léger pour la création, rendu possible grâce à sa fondation. Quelques mois plus tard, je deviens le premier lauréat de ce prix, et je commence à ce moment à me rendre compte de l’impact de Viola Léger, et par association, forcément, de La Sagouine, sur mon jeune parcours artistique ». « Les tapes dans le dos, les approbations, les permissions (celles qu’on prend ou qui nous sont données) sont importantes, voire essentielles, lorsqu’on est un jeune artiste. Cette tape dans le dos, ce souffle qui dit vas-y continue, a fait et continue de faire une différence dans ma carrière ».

Extrait tiré de la préface de Gabriel Robichaud du livre « La petite histoire de la Sagouine » de l’auteure Viola Léger, Les Éditions Perce-Neige.
« En tant que jeune comédienne et dramaturge, j’ai une soif de créer et de m’épanouir à travers cet art que je pratique. Je fais partie d’une génération fourmillante de jeunes hommes et femmes de théâtre qui ont le désir ardent de faire fleurir le théâtre en Acadie et je vous remercie chaleureusement de me permettre une aussi belle lancée en début de carrière ».

Lettre de la récipiendaire à la Fondation Viola Léger

La Fondation Viola-Léger vous invite à contribuer généreusement à son œuvre de bienfaisance